Un certain nombre de soignants sont désormais contraint de ne plus exercer, faute d’avoir pu ou d’avoir voulu se faire vacciner dans les temps. Compte tenu de la réalité épidémiologique en France, la situation a de quoi inquiéter.
Tic-Tac… L’horloge tourne et l’heure finit par arriver. Le répit accordé au personnel soignant est désormais levé. Les hospitaliers et les infirmiers qui espèrent encore exercer doivent désormais montrer patte blanche : s’ils ne sont pas en mesure d’https://www.planet.fr/societe-covid-19-quels-sont-les-departements-ou-on-compte-le-plus-de-vaccines.2296754.29336.html?xtor=SEC-63 ou, a minima (et seulement jusqu’au 15 octobre 2021) une première dose de vaccin accompagnée d’un test PCR négatif, ils ne peuvent plus venir travailler. Leur salaire ne leur sera donc plus versé, observe https://www.capital.fr/economie-politique/nice-cahors-des-hopitaux-suspendent-des-centaines-demployes-au-premier-jour-de-lobligation-vaccinale-1414443, qui explique que des premières suspensions ont d’ores et déjà été recensées. A Nice, par exemple, 450 personnes ont été renvoyées chez elles ce jeudi 16 septembre.
La capitale…