Pour l’heure, le « variant belge » est beaucoup plus discret que son cousin britannique. Cependant, son fonctionnement de mutation inédit intrigue considérablement les chercheurs.
« Du jamais vu jusqu’ici », assurent les scientifiques du plat-pays. C’est en tout cas ce qu’explique Vincent Bours, responsable du laboratoire d’analyse et de séquençage du https://www.planet.fr/societe-covid-le-gouvernement-a-t-il-un-plan-secret.2167616.29336.html?xtor=SEC-63 de Liège, qui décrit le variant « Belge » à nos confrères du Soir. Ce qui étonne autant, de l’autre côté de la frontière, c’est la façon dont cette nouvelle mutation se comporte indique https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-faut-il-s-inquieter-de-l-apparition-du-nouveau-variant-belge-20210323. Certes, le B 1.214 – ainsi que le désignent les chercheurs – ne représente que 4% des cas recensés chez nos voisins. C’est nettement moins que le variant britannique, qui concerne 70 à 75% des nouvelles contaminations.
Pourtant, le variant Belge n’en est pas moins inquiétant. Ou, à défaut, intriguant.