Qui a donc bien pu orchestrer la fuite rocambolesque de l’ex-PDG de Renault-Nissan ? Si de folles rumeurs ont alimenté les hypothèses, d’après l’agence Reuters, une société de sécurité privée aurait permis l’évasion.
Carlos Ghosn confirmera-t-il ces informations lors de sa conférence de presse le mercredi 8 janvier prochain ? Selon l’agence de presse mondiales Reuters, c’est une société de sécurité privée qui aurait permis à l’https://www.planet.fr/societe-qui-est-carole-ghosn-lepouse-du-patron-de-renault-nissan.1698342.29336.html?xtor=SEC-63 de retrouver sa liberté. Comment ? En échappant à l’étroite surveillance des autorités japonaises, ont révélé mercredi à Reuters deux membres de son entourage.
L’ancien dirigeant du groupe automobile, accusé de malversations financières (qu’il rejette) lorsqu’il était PDG de Nissan, a été arrêté au Japon en novembre 2018. Assigné à résidence depuis avril 2019 à Tokyo, en attendant son procès prévu en 2020, il avait interdiction de quitter le pays.
Or, grâce à une opération bien ficelée, il a pu quitter l’archipel japonais le dimanche 29 janvier vers 23h, depuis l’aéroport international…