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Chaque année, ce fléau tue 48 000 personnes prématurément. La dernière étude de l’Anses, un importante organisme national, a de quoi inquiéter…

Chaque année, c’est potentiellement 48 000 personnes qui en meurent. Ce mardi 16 juillet 2019, l’Anses (agence nationale sécurité sanitaire de l’alimentation de l’environnement et du travail) a publié une étude alarmante sur la pollution et les résultats ne sont pas bons. Dans son analyse, l’organisme est notamment revenu sur les dernières avancées scientifiques à ce propos. Elle propose, par ailleurs, les solutions qu’elle estime nécessaires pour mieux gérer cette pollution automobile.

Etude : une vision plus nette des gaz et minuscules matières qui polluent notre air

Plus petites que les PM10 ou PM2, 5, les particules ultra-fines (PUF) ne dépassent pas 0,1 micron. « Jusqu’en 2013, quelques études laissaient entendre le lien entre ces particules et des atteintes cardiovasculaires et les décès anticipés, l’association était moins évidente pour la santé respiratoire. Les études parues depuis ont confirmé ou renforcé le lien entre les PUF et ces trois…

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