Un mois après la disparition de Delphine Jubillar, les enquêteurs cherchent toujours à comprendre pourquoi elle aurait quitté son domicile en pleine nuit. Pour eux, elle n’a pas disparu de son plein gré.
Le mystère s’épaissit de plus en plus. Près d’un mois après la disparition de Delphine Jubillar, ses proches n’ont toujours pas les réponses aux questions qu’ils se posent. L’infirmière de 33 ans et mère de deux enfants a disparu dans la nuit du 15 au 16 décembre, laissant derrière elle tous ses effets personnels sauf son téléphone portable, qui a cessé d’émettre seulement quelques heures plus tard. Depuis, c’est la stupéfaction dans le village de Cagnac-les-Mines (Tarn), où elle vivait depuis plusieurs années avec son époux Cédric et leurs deux enfants, une fille de six ans et un garçon de 18 mois.
Les gendarmes ont mené des recherches intenses ces quatre dernières semaines, aidés par des habitants du village et des alentours lors d’une grande battue citoyenne le 23 décembre dernier. Famille, amis, collègues, voisins, connaissances… Tous ceux qui connaissent la jeune femme ont été interrogés par les enquêteurs, qui se concentrent toujours sur plusieurs…