« Même 5 fois par jour, ça ne me suffisait pas », assure Rebecca Barker dont la vie a été détruite par sa dépendance au sexe. Une situation loin d’être facile que certains pourraient le penser.
Addiction au sexe : une pathologie très handicappante ?
« L’addiction peut détruire des vies », clame Rebecca Barker, une Britannique de 37 ans et maman de trois enfants. Pour elle, il n’est pas question de parler de dépendance à l’alcool, l’héroïne ou à un quelconque psychotrope. Il s’agit, certes, de substances hautement addictives et potentiellement dangereuses. Mais ce n’est pas sur ce point qu’elle cherche à attirer l’attention de la santé publique du Royaume-Uni, comme l’indique le site d’information continuehttp://www.sudinfo.be/id52098/article/2018-05-03/la-dependance-au-sexe-ruine-la-vie-de-cette-mere-de-famille-meme-cinq-fois-par. Non, ce sur quoi elle veut interpeller les dirigeants politiques de son pays, c’est sur la dépendance au sexe. Une pathologie qu’elle connaît bien, pour la vivre au quotidien. Son cas, comme celui d’autre femmes, n’est pas traité explique-t-elle. Aucune aide n’est fournie. Elle en aurait pourtant eu besoin.
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