Christophe Ellul croit en l’innocence de son chien Curtis, bientôt quatre mois après la mort d’Elisa Pilarski. Interrogé par Sud-Ouest, son avocat dénonce une « fixation » autour de son client.
Difficile de démêler le faut du vrai dans l’affaire de la mort d’Elisa Pilarski, retrouvée mordue mortellement dans une forêt de l’Aisne. L’enquête se poursuit pour tenter de comprendre ce drame qui a eu lieu en novembre 2019, dans la forêt de Retz.
https://www.planet.fr/societe-elisa-pilarski-les-propos-que-son-compagnon-regrette.1944511.29336.html?xtor=SEC-63, le compagnon d’Elisa Pilarski, attend toujours les résultats des prélévements génétiques effectués sur plusieurs chiens, dont les siens. Alors que la piste Curtis est envisagée pour expliquer le décès de la jeune femme, lui n’y croit pas. Pourtant, certains éléments sèment le trouble.
Jeudi 5 mars, le journal https://www.oisehebdo.fr/2020/03/05/affaire-pilarski-selon-de-nouvelles-revelations-curtis-avait-deja-mordu-elisa/ a révélé que Christophe Ellul aurait pu mentir sur des faits datant du printemps 2019. L’homme aurait caché la vérité sur une blessure d’Elisa…