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En arrivant à Cagnac-les-Mines la nuit du 15 décembre, les gendarmes comprennent très vite qu’ils ne sont pas face à une disparition volontaire. Le 18 juin, le procureur de la République de Toulouse a énuméré les effets personnels de Delphine Jubillar laissés derrière elle.

« Ce n’est pas normal qu’une mère de deux enfants disparaisse en pleine nuit ». Lors d’une conférence de presse vendredi 18 juin, le procureur de la République de Toulouse est longuement revenu sur les différents éléments qui ont poussé les enquêteurs à soupçonner le mari de Delphine Jubillar dans la disparition de la jeune femme de 33 ans.

Delphine Jubillar :

Appelés par Cédric Jubillar https://www.planet.fr/societe-delphine-jubillar-le-scenario-de-la-nuit-de-sa-disparition-se-precise.2214959.29336.html?xtor=SEC-63, les gendarmes d’Albi savent dès le départ qu’ils ont affaire à une disparition inquiétante et pas un départ volontaire. Cagnac-les-Mines est en effet un « petit village », nous sommes en plein hiver donc « il fait froid » et il y a « peu de passage » dans cette rue pavillonnaire, située sur les hauteurs de la commune. Les heures, les jours et les semaines suivantes, les enquêteurs s’attèlent à refermer les différentes…

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