Identifier les cas contact, c’est bien. Identifier la personne à l’origine d’une contamination, c’est mieux. Le traçage « à la japonaise », ou « inversé », est-il la solution ?
Avons-nous tout faux depuis le début ? L’accélération de circulation du https://www.planet.fr/actualites-coronavirus-quand-atteindra-t-on-le-pic-de-lepidemie.2069931.1464.html?xtor=SEC-63 pousse certains à s’interroger sur les mesures mises en place par le gouvernement. Pour casser les chaînes de transmission du virus, l’exécutif a choisi la stratégie du « contact tracing », c’est-à-dire le traçage des cas contacts. Lorsqu’une personne est testée positive au coronavirus, elle dresse une liste des proches vus les jours précédant les signes de la maladie. Ces derniers sont alors contactés par l’Assurance maladie, deviennent des cas contacts, sont placés à l’isolement et doivent à leur tour se faire tester. Si cette méthode est logique, est-elle la plus adaptée ? Des spécialistes demandent désormais de faire les choses à l’envers en adoptant… Le traçage « à la japonaise ».
Coronavirus : une méthode de traçage inversée
Comme l’explique…