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Le virus semblait d’abord reculer dans le Grand-Est, mais l’Agence régionale de santé alerte : la situation épidémiologique se dégrade. A l’approche de Noël, il y a matière à s’inquiéter.

Les objectifs du président de la République étaient clairs : pour permettre le déconfinement, le président exigeait initialement une chute du nombre de nouveaux cas quotidiens de coronavirus sous le pallier de 5 000 personnes, à échelle nationale. C’est désormais une évidence, ces chiffres ne sauraient être atteints. Pourtant, le Premier ministre a tout de même confirmé la fin de la mise sous cloche du pays, prévue pour le mardi 15 décembre 2020. L’exécutif, cependant, a décidé de sacrifier le Nouvel An, ainsi que l’a déjà expliqué https://www.planet.fr/politique-pourquoi-lexecutif-a-t-il-prefere-sacrifier-le-nouvel-an-plutot-que-noel.2112827.29334.html?xtor=SEC-63. Et pour cause ! Comme l’explique Olivier Véran, ministre de la Santé & des solidarités, c’est là le temps des « fiestas ». « Noël n’est pas le Nouvel an. Le Nouvel an n’a pas la même portée culturelle dans notre pays, ça reste un moment festif », avait-il d’ailleurs souligné sur le plateau de…

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