Pour justifier leur méfait, les squatteurs invoquent souvent la précarité ou des difficultés économiques. Dans cette histoire qui se déroule à Cannes, l’auteure du délit ne coche pas vraiment cette case. Récit.
Les faits sont rapportés par https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/apres-le-squat-de-theoule-une-nouvelle-affaire-de-locataire-indesirablea-cannes-1617124569. Au cœur du conflit, un petit studio de 22 mètres carrés situé à Cannes (Alpes-Maritimes). La propriétaire de ce logement, Sophie Benoist, ne pensait sans doute pas vivre une histoire si rocambolesque.
Tout avait pourtant bien commencé, raconte-t-elle à l’antenne de la radio locale à propos de sa locataire. « Cette femme à l’air rassurant qui s’exprime très bien, s’est présentée début janvier 2021 pour rechercher un logement temporaire ».
Au début, tout se passe donc très bien. La quinquagénaire lui verse même en avance les 750 euros de loyer. Rien n’indique que les choses vont mal tourner. Et pour preuve, Sophie Benoist se souvient que sa locataire lui a raconté qu’elle « habitait provisoirement sur son yacht sur le Vieux Port de Cannes et cherchait…