Le 16 octobre 1984, Grégory Villemin est retrouvé mort dans une rivière, pieds et mains liés. À ce jour, l’identité de son meurtrier demeure inconnu. Retour sur 36 années de rebondissements et de fausses pistes.
Lépanges-sur-Vologne, 16 octobre 1984. Christine Villemin constate la disparition de son fils de quatre ans alors qu’il jouait sur un tas de graviers dans le jardin. C’est l’incipit d’un faits divers tristement célèbre : l’affaire Grégory. Quelques heures après l’enlèvement de l’enfant, ce dernier est retrouvé mort dans la rivière de la Vologne, à Docelles. Pieds, mains et cou liés par des cordelettes, la victime portait encore son anorak bleu et son bonnet en laine. 36 ans plus tard, les enquêteurs privilégient la piste du complot familial causé par la jalousie envers la réussite sociale de Christine et Jean-Marie Villemin, les parents du petit Grégory. Planet fait le point sur près de quarante ans de rebondissements et de fausses pistes.
Le calvaire commence le 4 mars 1983, quand un « corbeau » envoie sa première lettre de menace au père de Grégory Villemin. D’après…