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Le pouvoir travaille à la maîtrise des dépenses publiques. Ce qu’il ne saurait faire sans conduire à son terme une réforme des plus favorables aux retraités.

Les comptes, dit-on, sont dans le rouge. Cela n’a rien de très étonnant : déjà (bien) avant la pandémie qui frappe la France depuis désormais plus d’un an, les tenants de la rigueur budgétaire tiraient la sonnette d’alarme. Ainsi, certains taxaient l’Etat français de compter parmi les pires gestionnaires, rappelait le titre spécialisé https://www.boursier.com/actualites/macroeconomie/economie-l-etat-est-le-plus-mauvais-gestionnaire-qui-soit-m-touati-306141.html… en 2008. Les critiques n’ont pas nécessairement cessé depuis, à mesure que gonflait la dette publique.

Puis, est survenu le coronavirus Covid-19. Force est de constater que la crise sanitaire a déjà coûté très cher à la France. En outre, l’Etat a décidé d’abandonner la carte austéritaire au profit du « quoiqu’il en coûte », qui aura permis de soutenir l’économie de l’Hexagone mais s’est mécaniquement avéré assez onéreux. Ainsi, le gouvernement a mis en place divers dispositifs…

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