L’ancienne garde des Sceaux, qui a travaillé pour Renault à partir de 2010, a touché d’importants émoluments. Pourtant, elle est aujourd’hui soupçonnée d’emploi fictif.
« Vous savez, les boules puantes ont commencé, et ça va continuer », https://www.planet.fr/politique-municipales-toutes-les-boules-puantes-qui-attendent-rachida-dati.1782176.29334.html?xtor=SEC-63. Elle faisait alors référence aux révélations relatives aux 900 000 euros versés par Renault, survenues en plein coeur de la campagne pour la mairie de Paris, qu’elle briguait alors. « Je suis totalement prête à ça. Comme par hasard, au moment où je déclare ma candidature. Mais je suis très tranquille », faisait-elle d’ailleurs remarquer. Avant d’asséner, plus piquante : « Je ne vis pas de la politique. Je ne suis pas une héritière, mes parents ne m’ont rien laissé. Et je ne suis pas une rentière. Moi, je n’ai pas un compte en Suisse ou un tas d’or caché sous mon matelas ».
Pourtant, rappelle…