La politique du « quoi qu’il en coûte » instaurée par le gouvernement pour soutenir l’économie durant la crise sanitaire ne sera pas favorable aux contribuables. Vous pouvez sans doute d’ores et déjà dire adieu à la baisse des prélèvements obligatoires dans les prochaines années. Explications.
Une nouvelle https://www.planet.fr/impots-baisse-des-impots-quel-impact-sur-votre-retraite.1918433.1556.html?xtor=SEC-63n’est pas à envisager. En raison de la pandémie, l’État à engager des centaines de milliards d’euros, afin de soutenir l’économie. Espérer une baisse significative des prélèvements obligatoires au cours des prochaines années n’est donc qu’une chimère. C’est ce que laisse entendre le rapport préparatoire au débat d’orientation des finances publiques, dévoilé récemment par le gouvernement. Ce document budgétaire sert d’appui à l’élaboration du projet de loi de finances pour 2022, qui sera débattu au Parlement à l’automne.
En 2022 et 2023, le taux de croissance de la dépense publique devrait baisser de respectivement -3,7% et -0,5%, « mais cela s’explique par la disparition progressive des mesures de soutien et de relance mises en place par le gouvernement pour faire face à la crise (fonds de solidarité, activité partielle,…