La gendarmerie nationale a exprimé ses « regrets » à un habitant du Loir-et-Cher qu’elle a empêché d’aller à l’Ile de Ré au chevet de son père mourant. Retour sur cette affaire.
Le 4 avril dernier, Patrice Dupas, un habitant du Loir-et-Cher a pris sa voiture pour aller au chevet de son père mourant. Mais arrivé au pont de l’Ile de Ré, il a été contrôlé par les gendarmes.https://www.planet.fr/societe-deconfinement-faut-il-sattendre-a-dautres-controles-passe-le-11-mai.1977290.29336.html?xtor=SEC-63dont il s’était muni et ses explications n’ont pas suffi à les convaincre de ses intentions et l’automobiliste a non seulement été verbalisé, mais aussi contraint de faire demi-tour. Patrice Dupas a donc dû rentrer chez lui sans pouvoir dire adieux àhttps://www.planet.fr/societe-peut-on-vraiment-confiner-ses-parents-chez-soi.1977295.29336.html?xtor=SEC-63. Et ce dernier s’est éteint quelques jours plus tard sans que tous les deux aient pu se voir une dernière fois.
« Je ne l’ai pas vu avant son dernier souffle »
« On m’a empêché de le revoir. C’est anormal, s’est plaint le fils au micro de…