Bien souvent, les conseils des banquiers s’avèrent utiles. Tant et si bien qu’ils profitent parfois beaucoup aux Français. Mais quid des cas où, à l’inverse, ils se trompent complètement ?
Peut-on vraiment faire confiance à son banquier ? La question n’a rien d’anodin. Elle n’a rien, non plus, de très neuf ; en témoignent les nombreux articles de presse rédigés à ce sujet au fil des ans. Et pour cause ! Dans bien des cas, les conseils promulgués par nos amis banquiers ne sont pas les plus rentables. Parfois, ils peuvent même s’avérer réellement coûteux. Ils n’ont donc, résume https://www.01net.com/actualites/peut-on-faire-confiance-a-son-banquier-1822227.html, pas « bonne presse ». Et le site spécialisé de brosser d’eux un portrait peu flatteur : « Trop incitatifs, pas assez empathiques… Il y a beaucoup d’adjectifs qui leur sont encore donnés », écrivent en effet nos confrères.
Pourtant, insistent-ils, ce devoir de conseil constitue le pilier même de leur métier. Dès lors, un défaut de confiance n’est-il pas par essence, dangereux ? Peut-être. Cela ne signifie pas pour autant qu’il n’est pas justifié. Au contraire. D’abord parce…