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Malgré des taux encore attractifs, 1,25% en juillet, les conséquences de la crise sanitaire et économique pèsent encore lourd sur la production de crédits, selon L’Observatoire crédit logement/CSA. L’absence d’apport devient-il alors un frein à l’emprunt ? Faisons le point.

« Les conséquences économiques et sociales de la crise de la Covid-19 pèsent encore fortement sur la production de crédits ». https://www.lobservatoirecreditlogement.fr// CSA n’en doute pas. Le marché immobilier, s’était d’ailleurs déjà tendu après le durcissement des conditions d’octroi, en décembre 2019, par le https://www.economie.gouv.fr/hcsfAfin de limiter l’endettement sur les revenus, l’organisme a ordonné aux banques d’être plus rigoureuses. Le taux d’effort de 33% et le plafond de durée des prêts à 25 ans doivent, entre autres, être scrupuleusement respectés.

La situation peut donc « amener les ménages à devoir mobiliser un apport personnel de plus en plus élevé pour financer leur projet », examine la Fédération bancaire française.

La crise sociale, qui a rendu les banques frileuses, ont aussi, de leurs côtés, renforcé leur vigilance sur les…

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