Sylvie Goulard pourrait prendre la tête de la Commission européenne. Cette femme politique cumule toutefois quelques zones d’ombre derrière elle.
Emmanuel Macron a officiellement désigné Sylvie Goulard comme candidate pour la présidence de la Commission européenne. Cette ancienne député européenne et sous-gouverneur de la Banque de France, décrite par Le Monde comme « proche du courant fédéraliste incarné par Daniel Cohn-Bendit et le député européen belge Guy Verhofstadt » via le Groupe Spinelli, est considérée par https://www.planet.fr/politique-gouvernement-nouvel-ajustement-ministeriel-en-vue.1833582.29334.html?xtor=SEC-63comme « quelqu’un capable de porter (le) changement » politique nécessaire à des institutions européennes en déliquescence.
Pourtant, la nomination de Sylvie Goulard à ce poste clé des institutions européennes n’est pas sans risque, révèle https://www.capital.fr/economie-politique/les-casseroles-de-sylvie-goulard-potentielle-commissaire-europeenne-1348492. Le CV de la femme politique comporte en effet quelques zones d’ombre.