Le procès de Jonathann Daval, accusé d’avoir tué son épouse Alexia, s’est ouvert ce lundi 16 novembre 2020. Dès le premier jour, des images particulièrement bouleversantes ont été projetées à l’écran. Elles ont choqué jusqu’au suspect.
« Mes questions ne seront jamais piégeuses », a d’abord expliqué Matthieu Husson, le président de la cour d’assises de Haute-Saône, en charge du https://www.planet.fr/actualites-jonathann-daval-avait-il-un-complice-lintime-conviction-de-la-mere-dalexia.2095641.1464.html?xtor=SEC-63. Face à la médiatisation de l’affaire, l’homme a tenu à ré-expliquer le fonctionnement de la justice. « Vous ne serez pas jugé différemment parce que cette affaire a connu un retentissement inhabituel, je me dois de vous assurer un procès parfaitement équitable », a-t-il par exemple rappelé à l’accusé. Avant de pousser, sans grand mal souligne https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/11/17/au-proces-de-jonathann-daval-le-poids-du-retentissement-mediatique-et-l-horreur-du-crime_6060007_3224.html, aux aveux.
« Dans cette affaire, il n’est personne qui n’a pas eu connaissance des détails, des erreurs, des…