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Mis en examen pour « recel de détournement de fonds publics, corruption passive, financement illégal de campagne électorale », Nicolas Sarkozy se dit victime d’une « machination » et compte bien se défendre.

L’ancien président français a passé deux jours en garde à vue cette semaine et répondu aux questions des enquêteurs pendant près de 26 heures. Mercredi soir, au terme de son dernier jour de garde à vue il a été mis en examen. Dès le lendemain, c’est sur le plateau du 20h de TF1 qu’il a voulu prendre la parole pour donner sa version des faits. Il est accusé de « recel de détournement de fonds publics, corruption passive, financement illégal de campagne électorale ». Ce dimanche, c’est au JDD qu’il a accordé une interview. Il en profite pour détailler sa ligne de défense.

« Je briserai les auteurs de la machination honteuse »

« Quel que soit le temps que ça prendra, je briserai les auteurs de la machination honteuse qui porte atteinte, au-delà de moi-même, à la fonction que j’ai exercée et à notre pays », déclare Nicolas Sarkozy en dénonçant une « manipulation d’une ampleur inédite ». Il n’hésite pas à accuser « trois groupes d’individus qui, pour des raisons…

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